Jean-Marc Janaillac, le PDG d'Air France-KLM, a annoncé au micro d'Europe 1 que l'entreprise allait lancer des vols transatlantiques à partir de 195 euros l'aller simple et ce, dès le mois d'avril. Des prix très bas pour la compagnie aérienne, alors que les tarifs d'appels de certains low cost sont de 150 euros. Mais pour ce prix, il faudra accepter des concessions : ce sont là « des prix sans bagage, sans repas et sans aucune prestation. Lorsque vous doublez le prix parce que là ce n'est que l'aller, et que vous ajoutez la prestation, vous n'arrivez pas très loin des prix que nous pratiquons ».
Il s'agit pour Air France-KLM de revenir dans la course après le lancement de plusieurs offres à bas coût sur des vols transatlantiques qui jusqu'à peu, étaient épargnés par les low cost. Depuis quelques mois, les offres se multiplient, par exemple un Paris - New York à 129 euros l'aller simple chez Level, une compagnie à bas prix de British Airways qui débutera cette formule en septembre.
Le groupe franco-néerlandais n'a pas en revanche encore décidé s'il était opportun de créer une compagnie low cost spécifique pour ces vols entre les deux continents. L'option n'est pas exclue, a simplement indiqué Jean-Marc Janaillac, qui estime que l'alliance avec Delta Air Lines aux États-Unis va permettre à l'entreprise de « résister ». Néanmoins, il n'exclut rien : « s'il faut aller plus loin, on ira plus loin, mais pour le moment ce n'est pas un sujet qui est décidé ».
Il s'agit pour Air France-KLM de revenir dans la course après le lancement de plusieurs offres à bas coût sur des vols transatlantiques qui jusqu'à peu, étaient épargnés par les low cost. Depuis quelques mois, les offres se multiplient, par exemple un Paris - New York à 129 euros l'aller simple chez Level, une compagnie à bas prix de British Airways qui débutera cette formule en septembre.
Le groupe franco-néerlandais n'a pas en revanche encore décidé s'il était opportun de créer une compagnie low cost spécifique pour ces vols entre les deux continents. L'option n'est pas exclue, a simplement indiqué Jean-Marc Janaillac, qui estime que l'alliance avec Delta Air Lines aux États-Unis va permettre à l'entreprise de « résister ». Néanmoins, il n'exclut rien : « s'il faut aller plus loin, on ira plus loin, mais pour le moment ce n'est pas un sujet qui est décidé ».
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